www.anciensverts.com

Gelson Fernandes

Victime de la concurrence ces derniers temps, Hérita Ilunga a accepté pour France Football.fr de faire un point sur sa situation et celle de son club West Ham, au plus mal en Championnat avant d\'affronter Arsenal ce samedi. Le latéral congolais évoque également son Académie, un projet qui lui tient particulièrement à coeur.

«Hérita Ilunga, tout d\'abord, comment allez-vous ?
Ca fait trois semaines que je suis revenu, donc tout va bien. Avant que je me blesse, notre début de Championnat était mitigé, voire très moyen. Le coach a donc fait des choix et je suis un peu mis de côté. C\'est Gabbidon mon concurrent. C\'est toujours difficile. Avant la semaine dernière, on avait enchaîné cinq matches sans défaite et on a pu gommer pas de mal de nos problèmes. Mais bon, avec les matches nuls on n\'avance pas.

Effectivement, car vous êtes toujours lanterne rouge de Premier League...
On commence à retrouver une bonne assise défensive. Désormais, il faut qu\'on arrive à faire la différence offensivement. Mais il faut savoir que l\'on a commencé notre Championnat en affrontant tous les cadors (notamment Aston Villa, Manchester United et Chelsea lors des quatre premières journées). Ils étaient déjà prêts et pas nous. Cependant, on a un très bon effectif et tout le monde tire actuellement dans le même sens pour s\'en sortir. Je suis confiant. Notre manager, Avram Grant, connaît en plus bien le groupe. On monte en régime.

Comme vous le dites, il va falloir monter en régime car ce week-end, vous rendez visite à Arsenal...
Ca ne va pas être facile du tout. Ce n\'est pas le bon moment pour les prendre (rires). On est prévenu et on s\'est préparé comme il fallait. En plus, cette semaine, on a arraché un bon résultat en Coupe (ils étaient menés jusqu\'à la 84e minute par Stoke City, avant de prendre l\'avantage durant les prolongations. Score final 3-1). On est dans le positif. On veut faire un grand match. Et si l\'on fait un résultat, ça peut tout faire basculer.

Mais en face, il y aura Marouane Chamakh et Samir Nasri. Personne n\'arrive à les arrêter en ce moment !
Ca fait toujours plaisir de voir des anciens de Ligue 1 se distinguer. Ce qu\'ils font est grand, que ce soit en Championnat ou en Ligue des champions. Mais ça ne m\'étonne pas. Ils ont trouvé le bon club et le bon manager.

De votre côté, comment envisagez-vous l\'avenir avec West Ham ?
J\'ai encore deux ans de contrat ici. J\'ai du temps (rires). En ces temps de crise, je suis vachement content d\'avoir un contrat, car je sais que pas mal de gens galèrent. En tout cas, je suis très bien à Londres. Depuis que je suis arrivé, j\'essaye de rendre la confiance que l\'on m\'a accordée. Que ce soit du côté des dirigeants ou des supporters. Je donne tout sur le terrain et un départ n\'est pas d\'actualité.

Ce qui l\'est par contre, c\'est votre académie au Congo. Un projet qui vous tient à coeur...
Je suis originaire de la République démocratique du Congo. C\'est un très grand pays avec environ 60 millions d\'habitants. Dont 10 rien que dans la capitale à Kinshasa. Pas mal de secteurs se développent et on s\'est dit "pourquoi ne pas apporter notre pierre à l\'édifice". Avec un secteur que l\'on connaît : le foot.

Expliquez-nous alors votre projet, le BANA Football Institut...
On veut créer une école de foot qui associera une éducation scolaire de qualité pour les enfants avec une formation de football. Ce sera pour des gamins de 14 ans. On souhaite apporter cette formation "européenne" qui manque en Afrique et insister sur les valeurs de solidarité, de travail et de rigueur. L\'état congolais s\'est également mobilisé et on a également été voir l\'UNICEF et l\'UNESCO. Tout le monde est à fond derrière le projet. C\'est important car ça nous booste. L\'Etat va donc nous mettre des locaux à disposition et on envisage d\'ouvrir notre école en septembre 2011. Les détections commenceront en mars. On veut que ce soit l\'élite car la première génération sera notre vitrine. Je croise les doigts pour que tout roule, que ça ouvre en temps et en heure et que l\'on ait une longue vie. Car, au Congo, il faut donner des structures aux jeunes pour pallier aux problèmes de la vie.»

Propos recueillis par Tanguy LE SEVILLER

Retrouvez le site internet de l\'Académie de Hérita Ilunga sur www.banafootball.org

Source : France Football

Lasse Nilsson

coupe de la Ligue

La rencontre au sommet en Division Honneur Languedoc-Roussillon entre le FC Sète, entraîné par Matthieu Chabert, et Fabrègues, entraîné également par un ancien stéphanois Nicolas Guibal a tourné en faveur de l'entraîneur de Sète Mathieu Chabert. Sète a gagné 1-0.

Sète est 4ème au classement et Fabrègues 3ème.

La réaction de Matthieu Chabert
"C'était un match serré entre deux équipes qui ont des ambitions et qui veulent jouer le haut du tableau. Cette victoire nous fait du bien, même si on n'a pas fait un match exceptionnel. Nous avons été solides, et nous avons marqué au bon moment. On vient de prendre des points importants face à une belle équipe de Fabrègues et nous restons en plus meilleure défense de Division d'Honneur."

Source : www.foot-herault.fr

Paulo Machado

A la veille du déplacement du PSG à Lyon en huitièmes de finale de la Coupe de la Ligue, Antoine Kombouaré a confié qu\'il s\'interrogeait sur le niveau de Grégory Coupet, remplaçant d\'Edel depuis près de deux mois. «On a encore besoin de lui, a expliqué l\'entraîneur parisien en conférence de presse, mardi. J\'aime aussi le voir en compétition. La question est : est-ce qu\'il est compétitif ?»

L\'ancien gardien international, passé sur le banc depuis une performance très décevante à Sochaux (1-3, 4e j.), pourrait retrouver une place dans le but parisien à Gerland, même si Kombouaré assure n\'avoir pas encore fait son choix : «C\'est une possibilité. Mais je ne vais pas le faire jouer pour le faire jouer. Si je ne sens pas Greg prêt, je ne l\'alignerai pas. Aujourd\'hui, je n\'ai pas pris de décision.»

Interrogé sur l\'état d\'esprit de Coupet, 37 ans, le coach parisien a rendu hommage à son gardien, tout en l\'invitant à hausser son niveau à l\'entraînement. «Greg a une mentalité exceptionnelle, assure-t-il. Il sait qu\'aujourd\'hui Edel est meilleur que lui. Il est content de le voir enchaîner les bons matches, il le pousse à donner le meilleur de lui-même. Mais il faut qu\'il vienne le titiller davantage.» (Avec AFP)

Source : France Football

Hervé Musquère

PAS DE GRANDE EQUIPE SANS GRAND GARDIEN

Claude Abbes est né le 24 mai 1927 à La Caumette dans l\'Hérault. Il signe ses premières licences de footballeur dans des villages proches de Béziers comme Bédarieux et Lobastide. Grand pour l\'époque, 1,80 m pour 80 kg, il s\'impose rapidement au poste difficile de gardien de but. Il est suffisamment adroit pour se faire remarquer et il intègre tout naturellement les rangs de Béziers en 1951, le club le plus huppé de sa région. Il n\'y reste qu\'une seule saison car il est contacté par les émissaires stéphanois qui recherchent un gardien pour stabiliser la défense de l\'équipe première en difficulté en première division.
En effet, au cour de la saison 1952-53, à la fin des matches allers, l\'ASSE occupe une peu reluisante 18e et dernière place au classement général. La situation est grave et avec dix défaites en 17 journées, la défense, qui a encaissé 42 buts soit 10 de plus que son plus proche concurrent le FC Nancy, est montrée du doigt. Jean Snella, qui veut mettre en place un football offensif basé sur la vitesse d\'exécution et une disponibilité totale de tous les acteurs sur le terrain, est impuissant à coordonner efficacement son arrière-garde. Il lui manque un patron que ne sont pas Jacques Ferrière et Michel Jacquin, les habituels titulaires dans les cages de l\'ASSE.
Il charge donc Pierre Garonnaire de lui trouver la perle rare capable de remettre de l\'ordre dans la surface de réparation. Il ne s\'agit plus dès lors de recruter une élément jeune, talentueux et en devenir mais bien de réaliser le transfert d\'un joueur confirmé qui comblerait un manque flagrant dans le groupe stéphanois que l\'école de football interne n\'a pas réussi à former. Dans cet exercice, Garonnaire est également très bon comme il va le prouver avec l\'un de ses premiers transferts à sensation qu\'il mènera à bout.


Pierre Garonnaire et Claude Abbes

Claude Abbes accepte donc la proposition de l\'AS Saint-Etienne et il dispute sa première rencontre officielle le 28 décembre 1952 à Reims dans le cadre de la 18e journée du championnat, la première des matches retour. On aurait pu rêver mieux comme baptême du feu pour le nouvel arrivant qui est mis immédiatement dans le vif du sujet. Reims est l\'incontestable leader et la meilleure attaque avec 46 buts marqués. D\'ailleurs, à Geoffroy Guichard, au match aller, l\'équipe d\'Albert Batteux avait infligé une véritable correction aux hommes de Jean Snella inscrivant pas moins de 6 buts pour une victoire nette et sans bavure (6-2). Les mauvaises langues ne laissent ainsi planer le moindre doute sur l\'issue de la rencontre, l\'étendue du score étant la seule inconnue de cette confrontation.
Si l\'ASSE est finalement battue 2-0 sur un but du maître à jouer, Kopa, et à la suite d\'un penalty transformé par Glovacki, la déroute supposée n\'a pas lieu. Au contraire, la métamorphose semble s\'être engagée et elle se confirme lors des matches retours où les Verts ne s\'inclineront plus que 4 fois dont deux dans les trois dernières journées lorsque le maintien était quasiment assuré. A la dérive pendant une bonne partie de la saison, le redressement est spectaculaire et laisse supposer des lendemains enchanteurs. La machine, qui aurait pu se gripper définitivement, est désormais lancée sur de bons rails et Saint-Etienne obtient son premier titre, la Coupe Drago, en 1955 puis gagne le championnat de France en 1957 et dispute ses premières rencontres de Coupe d\'Europe la saison suivante face aux Glasgow Rangers et tout cela avec un Claude Abbes au sommet de son art.


FANTASTIQUE EPOPEE SUEDOISE


Toujours aimable, souriant et, au-delà de sa manie de toujours porter des pulls lorsqu\'il jouait, il a apporté un vent de fraîcheur dans le championnat français car s\'il n\'était pas aussi brillant sur sa ligne que pouvaient l\'être un François Remetter ou un René Vignal, il leur était largement supérieur dans des domaines peu courant pour l\'époque. En effet, avec la tactique offensive prônée par Jean Snella, il s\'est transformé en un gardien-libéro très en avance sur ses contemporains se caractérisant par une autorité sans failles sur les sorties dans les jambes et les balles aériennes où sa sûreté d\'exécution a fait merveille. Ces qualités peu communes ont évidemment attiré l\'attention des sélectionneurs qui ont fait appel à lui. Il connaît sa première sélection le 27 octobre 1957 contre la Belgique où il fait étalage de toute sa classe permettant à la France, grâce à ce match nul, de se qualifier pour la phase finale de la Coupe du Monde. Il est de nouveau sollicité un mois plus tard contre l\'Angleterre à Wembley en compagnie de deux nouveaux capés stéphanois, Richard Tylinski et René Domingo. Sérieusement blessé aux reins, il ne peut empêcher la déroute en terre anglaise (0-4).



Claude Abbes dans son exercice favori: les sorties aériennes

Avec François Remetter, ils se partagent la place de titulaire au sein de l\'équipe de France et c\'est d\'ailleurs le Strasbourgeois qui débute la Coupe du Monde 58 en Suède en jouant les deux premiers matches de la compétition. Comme en 1954 en Suisse, il est le remplaçant condamné au banc de touche. Mais après la défaite face à la Yougoslavie, le duo Batteux-Snella, constitué pour diriger l\'équipe de France, fait appel à ses services pour disputer la partie capitale face à l\'Ecosse. Grâce à sa victoire 2-1, elle se qualifie pour les quarts de finale et c\'est désormais le Stéphanois qui est sollicité jusqu\'à cette fabuleuse demi-finale contre le Brésil. Diminués par la blessure de Jonquet, obligé de quitter ses partenaires, il ne peut rien pour contrer le festival d\'un génial débutant dénommé Pelé qui réussit un hat-trick. Il n\'empêche, en battant l\'Allemagne pour la 3e place, la France réussit une performance à laquelle il aura largement participé et qui restera pendant longtemps une référence.

La suite de la carrière de Claude Abbes est affectée par les résultats en dents de scie de l\'AS Saint-Etienne. Il fait partie du groupe qui gagne la Coupe de France en 1962 mais il ne peut éviter que la saison se termine par une descente en deuxième division. Il quitte ainsi le Forez et entreprend de terminer ses études d\'ingénieur qui l\'amène à un poste important au CEA de Pierrelatte de 1962 à 1970. En même temps, il devient entraîneur-joueur de Montélimar qu\'il propulse jusqu\'en deuxième division. Il occupe par la suite le poste de directeur sportif de ce club avec plus ou moins de bonheur. Ce n\'est qu\'au moment de prendre sa retraite qu\'il retourne à Saint-Etienne où Roger Rocher lui octroie un poste au conseil d\'administration de l\'ASSE. Il le quitte au moment de l\'affaire de la « caisse noire » par fidélité pour son président de toujours.

Claude Abbes est donc l\'archétype du gardien moderne qui a permis à l\'AS Saint-Etienne de franchir une nouvelle étape, celle qui a mené à la consécration. On peut ainsi affirmer sans trop se tromper qu\'il appartient à la famille des goals légendaires de la famille verte tels que Pierre Bernard, Georges Carnus, Yvan Curkovic ou encore Jean Castaneda.

Source : www.asse-live.com
Merci à Tex

Jacky Merulla

Tiéné et Camara

Helder Postiga

Christian Sarramagna et Dominique Bathenay

Diakhaté et Gomis

Source : www.la-thierache.fr

 

Abdoulaye, comment s'est passé ce premier match à Albi ?
Il a été frustrant car après avoir fait 20 bonnes minutes, nous avons offert trois buts à Albi... trop pour espérer gagner. Malgré ça, nous sommes parvenus à revenir en seconde période et cette réaction est encourageante et démontre que le groupe a du mental. Malheureusement, on a pris un quatrième but et un carton rouge qui nous ont fait mal. Mais il y a beaucoup de positif à relever de ce match malgré tout.

Vous jouiez votre premier match avec Uzès, comment abordez-vous cette saison ?
Après un essai non concluant à Bastia, je m'entraîne avec le groupe depuis trois mois donc je n'étais pas dépaysé à Albi. En plus, je connaissais déjà deux ou trois joueurs donc l'intégration s'est bien faite. Comme je me sens bien physiquement, je dirais même de mieux en mieux malgré l'âge, je suis content de mes premières sensations.

 

Source :  www.foot34.fr

Le week-dernier avait lieu le 5ème tour de Coupe de France.
Voici quelques enseignements à en retirer, du côté de nos anciens joueurs

Les buteurs

A Cannes, Lilian Compan a marqué le premier but de la victoire de Cannes contre Aubagne (DH)

Dans le groupe de Fréjus Saint-Raphaël, Gharibian, Dutil et Orinel étaient convoqués pour la rencontre conte Gap gagnée 5 buts à 0 pour les Sudistes. Gharibian et Orinel ont joué toute la rencontre, Dutil entrant à la 71ème minute. Orinel et Dutil ont chacun marqué un but.
Côté Gap, Mehdi Messaoudi était titulaire au sein de la défense.

Côté Chambéry, les hommes de Guion ont battu Jonage (Prom Excellence) sur le score de 5 buts à 1. Malick Faye, fraîchement arrivé en Savoie, a marqué le dernier but de la rencontre.

Ismaël Ugur a marqué le but victorieux de Moulins contre Saint-Georges les Ancizes

Matthias Degache a permis à Andrézieux de battre difficilement Vallée de la Gresse (PHR). Score final 2 buts à 1. Guillaud, Courand, Bourrin, Degache ont participé à cette rencontre


Autres Qualifications de clubs d'anciens Stéphanois
AS Minguettes
Côte-Chaude
FCO Firminy
AS Valence
Lyon Duchère
Luzenac
Carquefou
 

La rencontre entre Luzenac et Cannes sera diffusée à 15h00 le dimanche 14 novembre sur France  3 Midi-Pyrénées et France 3 Côte d'Azur.

Plusieurs anciens stéphanois sont concernés par cette rencontre : Stéphane Malfleury à Luzenac et Compan, Cuervo et Lemasson à Cannes.

Suite aux dernières sélections de Blaise Matuidi et Dimitri Payet, il est intéressant de lister tous les joueurs qui, étant à l'ASSE, ont été appelés en équipe de France.
Voici donc la liste des 55 joueurs stéphanois qui ont joué en équipe de France tout en jouant à l'ASSE, par ordre chronologique :

1937: Yvan BECK
1938: René LLENSE (gardien)
1946: Antoine CUISSARD
1947: René ALPSTEG
1948: Guy HUGUET
1952: Kocsur FERRY
1953: Jacques FOIX
1956: Rachid MEKLOUFI
1957: Claude ABBES (gardien), René DOMINGO, Richard TYLINSKI
1958: René FERRIER
1960: Georges PEYROCHE, Robert HERBIN, Roland GUILLAS
1961: Jacques FAIVRE
1963: Pierre BERNARD (gardien)
1964: André GUY
1966: Bernard BOSQUIER, Hervé REVELLI
1967: Roland MITORAJ, Georges BERETA
1968: Georges CARNUS (gardien), Aimé JACQUET
1969: José BROISSART, Jean-Michel LARQUE
1971: Francis CAMERINI
1973: Pierre REPELLINI, Christian SARRAMAGNA, Alain MERCHADIER, Patrick REVELLI
1974: Christian SYNAEGHEL
1975: Christian LOPEZ, Yves TRIANTAFILOS, Dominique ROCHETEAU, Gérard JANVION, Dominique BATHENAY
1976: Gérard FARISON
1977: Jacques ZIMAKO
1978: Bernard LACOMBE, Jean-François LARIOS
1979: Michel PLATINI
1980: Patrick BATTISTON
1981: Jean CASTANEDA (gardien)
1982: Philippe MAHUT, Bernard GENGHINI, Laurent ROUSSEY
1983: Jean-Louis ZANON
1988: Patrice GARANDE
1990: Philippe TIBEUF
1993: Laurent BLANC
1994: Jean-Pierre CYPRIEN
2008: Bafétimbi GOMIS
2010: Blaise MATUIDI, Dimitri PAYET

En cliquant sur chaque nom, excepté Matuidi et Payet, vous aurez accès à chaque fiche du joueur sur notre site.

Alaeddine Yahia

Alaeddine Yahia a été sanctionné d\'un match de suspension avec sursis par le Conseil national de l\'éthique de la Fédération (FFF) pour des «propos excessifs» à l\'encontre d\'un arbitre du match Lens-Lille (5e journée de L1), a annoncé la FFF lundi. Au cours de cette rencontre remportée par les Dogues (1-4), l\'arbitre assistant Emmanuel Boisdenghien avait été touché par un objet non déterminé après l\'exclusion d\'un deuxième joueur lensois, Issam Jemaâ, en tout début de seconde période.

Il est reproché au défenseur des sang et or d\'avoir déclaré dans la Voix du Nord : «Que l\'arbitre-assistant arrête de "mythonner". J\'ai bien vu ce qu\'il s\'est passé. Il n\'a pris qu\'une boulette de papier, utilisée pour le tifo d\'avant-match, avec trois frites à l\'intérieur (...) Qu\'il aille voir Steven Spielberg car il est bon pour jouer au cinéma. Mais qu\'il arrête de dire qu\'il ne dort plus la nuit et qu\'il voit Bollaert dans son sommeil ! Je n\'excuse pas le geste car c\'était lâche et ç\'a été fait dans son dos. Mais, pour moi, tout ça, c\'est juste du cinéma !» M. Boisdenghien avait reçu cinq jours d\'ITT (incapacité temporaire de travail).

Source : France Football

Matthias Degache

Matthias Degache a permis à Andrézieux de battre Vallée de Gresse (PHR) pour le compte du 5ème tour de Coupe de France (2-1).

Il est entré à la 65ème minute en remplaçant Guillaume Bourrin, autre ancien stéphanois.


Consulter la fiche de : DEGACHE Mathias

Florent Perraud

Florent Perraud qualifie Gueugnon lors de ce 5ème tour de Coupe de France face à Montceau (0-0, 5 tab à 4).

Outre un arrêt décisif à la 87ème minute, il a le mérite et le talent de détourner 2 tirs aux buts de Montceau (Correia et N\'Goma) ce qui a permis à Gueugnon de passer ce 5ème tour.

Eric Bauthéac

Michaël Citony

Ça y est : Mickaël Citony s’est, enfin, entraîné normalement avec ses coéquipiers hier matin. Le joueur, arrivé en janvier dernier à Beauvais lors du mercato, s’était fracturé une cheville lors de son premier match amical. Bilan, il n’a pas disputé la moindre rencontre officielle sous les couleurs des Rouge et Blanc.

Conservé cet été, il a enchaîné depuis les séances physiques la plupart du temps en solitaire sous la houlette de Laurent Chopin. Son retour dans le groupe, avec obligatoirement un passage en équipe réserve histoire de retrouver le rythme et ses sensations, est presque synonyme de signature d’un joker. L’attaquant a en tout cas soif de ballons et de buts.

Source : Le Parisien

Freddy Guarin

Sérisay Barthélémy

Helder Postiga

Pas de vainqueur dans le choc de la poule Sud. L'arbitre a arrêté le match à la 85ème minute et le résultat final devrait se jouer devant la commission du district dans quelques semaines.

Il y avait comme un parfum d'orage cet après-midi au stade de la gare pour cette rencontre au sommet entre l'USG La Fouillouse et l'US Monistrol.
Cela a commencé par un choc entre Ottaviano et Machin (2e). L'un des premiers du match.
La première frappe était l'oeuvre de Setboune (10e). Les visiteurs ouvraient le score sur un contre. Sur une frappe de Di Matteo, Rabilloud déviait le ballon sur Bourgeois. Le buteur monistrolien ajustait le portier local d'une frappe croisé (0-1, 20e).
Les chocs devenaient de plus en plus nombreux. Aucune des deux équipes ne voulaient lâcher du lest. Les hommes de Vincent Chicharo se procuraient deux occasions. Ottaviano contrait une frappe de Villard (37 e). Machin tentait sa chance (38e). La troisième était la bonne. A la suite d'un énième choc, Machin plaçait le ballon hors de portée du gardien monistrolien (1-1, 39e).
Les coéquipiers de Ponsard manquaient l'occasion de reprendre l'avantage. Besson touchait du bois suite à un corner de Talaron. L'arbitre sifflait la mi-temps.
 

La seconde période ressemblait à une attaque-défense. Les locaux prenaient la possession du jeu. Les chocs s’accentuaient. Les coéquipiers de Berger obtenaient un coup-franc aux dix-huit mètres. Goutagny repoussait l'essai de Corgie-Masson.
L’animation venait des alentours du stade. L'arbitre intervenait auprès du délégué pour faire stopper les provocations des boulistes d’à coté. Il rappelait le portier visiteur à l'ordre suite à un échange verbal avec le public. Pendant ce temps sur la pelouse, on essayait de jouer au foot. Les locaux dominaient mais sans être vraiment dangereux. A cinq minutes de la fin, la défense visiteuse effectuait un double arrêt, d'abord par Goutagny, puis par Cornillon, qui repoussait sur sa ligne les offensives feuillatins.
Sur le contre suivant, Talaron se retrouvait par terre. La seconde intervention de Rabilloud sur Bourgeois provoquait une confusion à l'approche de la surface de réparation. L'arbitre expulsait le stoppeur feuillatin. Il sifflait par la même occasion la fin du match. Tous les joueurs regagnaient les vestiaires.
Pour l'heure, ce match nul ne fait les affaires de personne. Mais reste à savoir quelles seront les décisions prises dans quelques semaines par la commission du district.

Reportage de Stéphane Patural

 

José Aloisio

Anthony Le Tallec

Helder Postiga

Sérisay Barthelemy

-Que retiens-tu de ton passage à l\'AS Saint-Etienne en 1986-87 et des quelques matchs joués avec l\'équipe B en 3è division?

-Ce que je retiens de mon année à Sainté? Les gens sont supers sympas dans la ville, aimables et sains! Côté football, je pense que pour réussir, sur 40 matchs il faut être au top 5/6 fois, bon 32 fois, et 3 fois moyen...


As-tu gardé le contact avec des joueurs de l\'époque?

-J\'ai un peu gardé contact avec Christophe Pignol et Christophe Deguerville mais sans plus...


-Quel fut ton parcours après cette saison en vert?

-Mon parcours footballistique fut Versailles (National - 87/88), SC Toulon (Ligue1 - 88/89) US Endoume (National 89/91) puis US Marignane (DH)


-Et que deviens-tu?

- J\'ai aussi repris mes études en 1988 et obtenu en 1992 une maîtrise de psychologie, puis en 1993 un DESS En gestion du personnel, et enfin en 2003 un DESS en Psychologie du Sport. Je suis depuis 10 ans travailleur indépendant en SARL, j\'accompagne des personnes qui veulent monter leur entreprise à la suite d\'un licenciement.


-Comment juges-tu le parcours actuel de l\'ASSE?

Comment je juge le parcours actuel des Verts ? étonnant !! Quand on voit les difficultés des 2 dernières années..

Interview réalisée par l\'équipe de www.anciensverts.com
Merci à Eric pour sa disponibilité

Yohan Benalouane

Malick Faye

Matt Moussilou

Medhi Foudil

Après une saison disputée au Pontet, Medhi Foudil évolue désormais dans les rangs de Perpignan-Canet en Division Honneur.

Perpignan est 8ème après 3 journées.

Hervé Révelli

 

« Cette défaite je ne l’accepte pas. On ne doit pas perdre. C’est sûr que celle là je vais mettre un moment à la digérer. »
« J’attends une réaction d’orgueil de la part des joueurs. De toute manière ils n’ont besoin de personne pour leur rappeler qu’ils n’ont pas été à la hauteur. A eux de faire leur autocritique. A un moment donné il faut arrêter de dire, c’est pas moi. Ils doivent aussi se prendre en main. Je n’ai pas encore d’idée précise sur la composition du groupe mais je vais certainement faire monter des joueurs de l’équipe B. »
Hervé Révelli aura des mots encore plus durs : « J’ai honte pour le club et pour le président qui s’investit tant. Et on a l’air de quoi devant les sponsors ? Voilà ce qu’on donne en échange, ce n’est pas normal. »
Quelques minutes sont passées. L’entraîneur tente de peser ses mots avant de retrouver un peu de calme. « Ce soir (mardi), je vais revenir sur ce match avec les joueurs, mais pas trop, ça ne sert à rien. Il nous faut garder un brin de sérénité, qui plus est dans ces moments là. On va reprendre le travail et se consacrer sur le championnat. »
Hervé Révelli est un amoureux du ballon. Et comme tous les passionnés, la défaite, ce genre de défaite, lui est insupportable.

Source : www.foot42.fr

François Blaquart

Carlos Kameni

Frédéric Piquionne

Fousseni Diawara

Postiga et Machado

Dabo, Zokora

Helder Postiga